18 août 2011
Merveille.
Trouver le flou poétique des choses. Les mots. Le trop de mots dans ma tête en nausée boueuse. Les Beaumarchais. Marivaux et autre Marion Aubert. Tout ça en vrac digéré mâché assimilé. Mais toi. Pourquoi tes mots à toi je ne les retiens pas ? Le souffle court, le sourire bavard etcetera. Les "je suis juste dingue de toi et j'ai l'impression que tu en doutes et que tu l'oublies". Les culottes trop petites et les mains hâtives. Promptes au touché déshabillé. Il a déposé trois baisers le long de mon bras et mon coeur/corps n'a fait qu'un bond. Ses yeux plisés. Ses cheveux pas blond. Ses fossettes-surprises et les mille histoires qu'il me murmure à demi sommeil. Merveille.
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